Caresses infinies,.

dimanche 18 septembre 2005.
 

Sur ton corps de rêve,

Délicieuse langue,

Qui s’enroule et qui glisse,

Sur tes jambes fines et longues, .

Sur tes seins endurcis,

Ma douce et belle langue,

Inonde ton clitoris,

Jolie brune et joli brun,

Nous deux enlacés,

Amant d’une nuit,

Je te pénètre enfin,

Descente rapide,

Dans les gorges profondes,

Des secousses sismiques,

Explosent chaque seconde,

ô volcan enflammé,

Mon pénis est en feu,

Il faudrait le calmer,

Avant qu’il ne jaillisse,

Tes petits doigts de fées,

Cajolent de bonheur,

Et berce de tendresse,

Ma plume toute mouillée

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