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Il était une fois ... sylvain ...

vendredi 19 août 2005.
 

Avec une femme si jolie

Avec une femme comme toi

Celle qui peuplait mes rêves

Celle à qui je demanderai une trêve

Celle qui illuminait de son sourire

ma vie si insipide avant de vous entendre rire

Je vous ai vu vous approcher

Et je suis revenu des enfers lorsque décroché

Fut cette flèche qui devait me faire taire

Ces mots ne sont pas la

Pour contredire quoique ce soit

Je vous ai tellement aimé

Que mon coeur en a pleuré

Des jours, des ans un trou beant,

Comblé par le temps

Je suis toujours vivant

Je vous aime comme au premier jour

Mon premier amour

Celui qui me rendait blème

Comme cette nuit ou vous m avez annoncé

Sans que cela me nuit votre amour partagé

Depuis tant d années

Que je ne saurais plus les compter

Un amour si pur, si passionnel, qu’il fut dur

De le faire taire plus longtemps

Malgré les bien pensant nous avons fait

Ce que nos coeur réclamaient

Notre relation a évolué

Du statut d’amour rêvé à celui de vécu

Une complicité si abusée

Tellement de choses que seul cette prose

Me permet de quantifier

De la chose la plus futile à la plus utile

Nous somme indentiques

Et cela n est pas symbolique

Vous êtes mon âme soeur

Plus aucune peur

Ne m’ habite en ce moment

Je vous attends depuis longtemps

Que je me dois de faire une chose contre laquelle

Je dois maintenant me taire

une chose si belle celle de vous épouser

De faire de vous ma bien aimée

Noyé dans mes sentiments je me ments

Mon coeur liquide comme de la crème

Battu par le temps,flagelé par les vents

Brulé par le soleil

Rabougri comme le vermeil,il n en pouvait plus

Jusqu’à ce que vous me regardiez

Et aquiescez à ma demande

Ce dont je vous en remercie

Ma bien aimée Aurélie

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