Chaleur infernale

dimanche 18 septembre 2005.
 

Une chaleur infernale

Parcour les landes de mon corps

L’aride canicule

Envahit le terrain de mes plaisirs

Ma rivière est abondante

Elle se faufile parmi les buissons.

Et tu t’y abreuves pour t’hydrater

Ragaillardi,tu explores mes contrées

Depuis mes prairies

Jusqu’aux montagnes arrondies

Puis tu t’aventures dans la grotte

A ce moment-là

Le sol se met à vibrer

Une terrible secousse sismique

Sillonne nos corps excités

Une faille s’entrouvre .

De là jaillit

Ton geyser violent.

Qui arrose mon sol fertile

Le cyclone passé,

Je m’endors avec tranquillité

Dans le creux de tes bras

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