Comme un calice
samedi 2 février 2008.
La corolle pain d’épice de son sexe enfiévré
S’offre comme un calice à l’amant envoûté
De sa peau veloutée à son air malicieux
Elle électrise l’ambiance de désirs pernicieux...
Le doré de ses cuisses sur le sable étalées...
Eclaire tous les vices qu’à lui seul elle promet
Il en perd ses repères de mâle dominant
Déclinant ses audaces sous le soleil levant
La brise les enrobe d’un sensuel pouvoir
Leur étreinte frissonnante attise leur espoir
D’une consécration de leur attrait charnel
Concrétisant l’ardeur d’un baiser sensuel
Leurs corps nus enlacés sous le ciel étoilé
Conjuguent leurs plaisirs par le désir porté
Conduisent leur hardiesse jusqu’à la volupté.
Quand leurs corps mélangés réclament la jouissance
Dans l’abandon total et la concupiscence...
De leur jardin ils retrouvent le chemin
L’extase les accompagne dans leur monde souverain
Les vagues tendres complices de leurs ébats brûlant
Diluent dans la douceur, en ressac ondoyant !
Les traces évanescentes de leur passion charnelle